Roger BOURDIN
Roger Bourdin en 1940 [photo Studio Tscherniak]
Roger BOURDIN
baryton français
(38 rue de Flandre, Paris 19e, 14 juin 1900* – Paris 17e, 14 septembre 1973*)
Fils de Jean Alfred Louis BOURDIN (Chouzy-sur-Cisse, Loir-et-Cher, 08 août 1852 –), employé de commerce [fils de Jean BOURDIN (Chouzy-sur-Cisse, 23 mars 1816 – ap. 1884), jardinier], et de Louise Virginie MASSONNAT (Paris, 11 octobre 1865 –), modiste, mariés à Paris le 15 mars 1884.
Epouse à Levallois-Perret, Seine [auj. Hauts-de-Seine], le 17 mai 1944 Geori BOUÉ (1918–2017), soprano ; parents de Françoise BOURDIN (Paris, 1952 – 25 décembre 2022), écrivain.
Ayant étudié au Conservatoire de Paris avec André Gresse et Jacques Isnardon, il y obtint ses premiers prix en 1922. Il débuta la même année à l'Opéra-Comique dans Manon (Lescaut). Il s'y imposa aussitôt par sa voix chaude et musicale, sa présence scénique et son humour. Il y créa, entre autres, le Bon roi Dagobert dans lequel il composa un savoureux Éloi. En 1933 il abandonne la salle Favart pour se consacrer à l'opérette où il réussira avec beaucoup d'aisance. Mais dès 1940 il reparaît à l'Opéra-Comique pour de nouvelles créations. En 1942, il entre à l'Opéra. Il a interprété, sur nos deux scènes nationales jusqu'en 1959, la plupart de tous les emplois allant du baryton-martin à la basse chantante, puisqu'on le vit à l'Opéra dans Thaïs et à l'Opéra-Comique dans Ciboulette. Il fut à la Gaîté-Lyrique, le créateur le 23 mars 1935 de Malvina (Valérien) de Reynaldo Hahn. Non seulement chanteur estimé, Roger Bourdin s'est fait apprécier pour ses qualités scéniques. Il fut une figure marquante des scènes françaises, également apprécié à l'étranger. Il a chanté plus de cent rôles et créé plus de vingt ouvrages, dont certains de Milhaud, Ibert, Bondeville, etc. Il a pris sa retraite en 1965. Il a tenu une classe d'opéra-comique au Conservatoire de Paris de 1940 à 1970.
Il est décédé en 1973 à soixante-treize ans en son domicile, 115 rue de Courcelles à Paris 17e.
Il n'a pas de lien de parenté avec le flûtiste Roger BOURDIN (Mulhouse, Haut-Rhin, 27 janvier 1923 – Versailles, Yvelines, 23 septembre 1976).
Roger Bourdin en 1928 [photo H. Manuel]
Sa carrière à l'Opéra-Comique
Il débuta le 20 octobre 1922 dans Manon (Lescaut).
Il a créé le 27 juin 1925 Scènes dansées (le Récitant) ; le 24 décembre 1925 le Joueur de Viole (le grand Décorateur ; 2e Marchand) de Raoul Laparra ; le 21 février 1927 Sophie Arnould (Comte de Laurageais, Dorval) de Gabriel Pierné ; le 05 décembre 1927 le Bon roi Dagobert (Eloi) de Marcel Samuel-Rousseau ; le 16 janvier 1928 Angelo, tyran de Padoue (Homodéi) d'Alfred Bruneau ; le 17 décembre 1928 Riquet à la houppe (le Prince Avenant) de Georges Hüe ; le 24 avril 1929 la Peau de chagrin (comte Rospoli) de Charles Levadé ; le 15 janvier 1930 le Roi d'Yvetot (le cabaretier maigre) de Jacques Ibert ; le 02 juin 1930 Rayon de soieries (Gaston) de Manuel Rosenthal ; le 09 février 1931 Cantegril (Cantegril) de Roger-Ducasse ; le 10 mars 1942 Mon oncle Benjamin (Benjamin) de Francis Bousquet ; le 25 janvier 1944 Amphitryon 38 (Jupiter) de Marcel Bertrand ; le 21 juin 1949 le "Oui" des jeunes filles (don Diégo) de Reynaldo Hahn ; le 01 juin 1951 Madame Bovary (Lheureux) d'Emmanuel Bondeville
Il a participé aux premières suivantes : le 18 juin 1923 Pepita Jiménez (le Comte) d'Isaac Albéniz ; le 30 mai 1925 les Indes galantes de Jean-Philippe Rameau ; le 01 février 1926 l'Enfant et les sortilèges (l'Horloge, le Chat) de Maurice Ravel ; le 02 juin 1930 Angélique (Charlot) de Jacques Ibert ; le 17 novembre 1931 la Danse pendant le festin (Chico) de Marius-François Gaillard ; le 04 mai 1940 Mesdames de la Halle (Raflafla) de Jacques Offenbach ; le 27 juin 1941 Carmosine (Minuccio) d'Henry Février ; le 13 mars 1953 Ciboulette (Duparquet) de Reynaldo Hahn ; le 12 mai 1955 Eugène Onéguine (Eugène Onéguine) de Piotr Ilitch Tchaïkovski [version française de Michel Delines].
Il a chanté Aphrodite (Timon) ; le Barbier de Séville (Basile) ; la Basoche (Clément Marot) ; Béatrice (Tibério) ; Carmen (Escamillo) ; les Contes d’Hoffmann (Miracle) ; Djamileh (Splendiano) ; Don Quichotte (don Quichotte) ; Fortunio (Clavaroche) ; Gismonda (Zaccaria) ; le Hulla (Taher) ; Lakmé (Frédéric) ; Lorenzaccio (un Officier, Lorenzo) ; Madame Butterfly (Scharpless) ; Mârouf, savetier du Caire (Ali) ; Masques et Bergamasques ; le Médecin malgré lui (Sganarelle) ; Mireille (Ourrias) ; Paillasse (Sylvio) ; Pelléas et Mélisande (Pelléas) ; Pénélope (Eurymaque) ; le Roi malgré lui (Henri) ; la Tosca (Scarpia) ; Tristan et Isolde (Mélot) ; la Bohème (Marcel) ; Werther (Albert) ; les Noces de Figaro (Figaro, Almaviva). Il y chanta le Muletier de Tolède, le Barbier de Séville. |
Sa carrière à l'Opéra de Paris
Il débuta le 28 novembre 1942 dans Mârouf, savetier du Caire (Mârouf).
Il a chanté Thaïs (Athanaël, 1947) ; Faust (Valentin, 1949) ; les Indes galantes (don Alvar, 1952) ; les Maîtres chanteurs de Nuremberg (Beckmesser, 1952) ; l'Aiglon (Metternich, 1952).
Il a créé le 12 mai 1950 Bolivar (Bolivar) de Darius Milhaud ; le 06 avril 1951 Kerbeb, danseuse berbère (Sid Haffid) de Marcel Samuel-Rousseau.
Il a participé le 12 février 1954 à la première d'Oberon (Shérasmin) de Carl Maria von Weber [version française de Kufferath et Henri Cain]. |
Roger Bourdin en 1925 [photo A. Tscherniak]
Roger Bourdin en 1927 [photo Tscherniak]
Roger Bourdin en 1930 [photo Waléry-Paris]
Roger Bourdin en 1931 [photo A. Tscherniak]
Roger Bourdin décoré de la Légion d'honneur par Maurice Lehmann en 1952
Roger Bourdin en 1953 [photo Studio Harcourt] |
Roger Bourdin en 1956 |
Concerts Lamoureux. – M. Roger Bourdin est non seulement un excellent chanteur, mais un interprète hautement intelligent qui comprend et pénètre le texte musical comme le texte poétique des œuvres qu'il présente et dont il exprime avec une parfaite diction, un juste sentiment, le sens intime. Le Promenoir des Amants, Colloque sentimental, Mandolines, qu'il a chantés, ont été orchestrés par M. Louis Beydts avec une entière assimilation de l'esprit de Debussy, une adresse, une piété rares. Ces œuvres gagnent-elles à être instrumentées ? Debussy pensait réellement pour piano ou pour orchestre ; aussi, selon les circonstances, s'exprimait-il différemment. La trame orchestrale, si habile et légère soit-elle, alourdit la fluidité pianistique et se développe au détriment du chant. Mandolines semble le mieux s'accommoder de la transposition. Cette réserve ne doit pas empêcher de reconnaître le talent déployé en la circonstance par M. Beydts. (Raymond Balliman, Lyrica n° 81, janvier 1929)
Cannes. – C'est une heureuse idée qu'a eue notre Casino municipal de monter le Bon Roi Dagobert de MM. Marcel Samuel-Rousseau et André Rivoire. L'œuvre est vraiment charmante, constituant un spectacle des plus agréables. La partition fourmille de jolis détails, dont l'orchestration est traitée avec une incomparable richesse. Aussi n'étonnerons-nous personne en disant que cette délicieuse comédie musicale, d'un goût si sûr et si fin, a obtenu un immense succès. L'interprétation fut vraiment excellente. Mme Emma Luart et Mlle Gauley rivalisèrent de charme et de talent dans les rôles de la Reine et de Nantilde, M. Goavec apporta beaucoup de compréhension et de finesse dans la composition du personnage de Dagobert, M. Roger Bourdin fut un Eloi d'une verve éblouissante et d'une fantaisie débordante. Citons encore parmi les autres interprètes, Mmes Sonia Rasumny, Borde, Laugier, Rizzi, Lysiane, MM. A. Friant, Flavien et Scellier. N'oublions pas non plus M. Spaanderman qui dirigea la représentation avec beaucoup d'autorité, et mentionnons aussi la mise en scène de M. Léon Devaux qui fut particulièrement soignée. (le Ménestrel, 15 mars 1929)
La « Comtesse Maritza » aux Ambassadeurs [première à Paris en français de l'opérette d'Emmerich Kalman, le 08 mai 1931] – Mauvaise soirée. – Mauvaise pièce. – Musique banale et interprétation ordinaire, sauf en ce qui concerne Roger Bourdin qui apporta au rôle de Tassilo sa voix mordante, son intelligence scénique, son articulation distincte et du style, toutes qualités si différentes de celles de ses camarades, que l'on peut dire sans trop de paradoxe que par son talent il a décalé toute l'interprétation. Evidemment, c'est tout de même un paradoxe, car si le reste de l'interprétation eut été de la valeur du principal personnage, il en serait résulté une homogénéité qui manquait totalement. Mlle Lewis qui jouait la Comtesse Maritza m'a plu considérablement, mais c'est au seul point de vue physique. Je ne veux pas me montrer un critique trop sévère pour des œuvres de si petite envergure artistique, mais je ne puis m'empêcher de trouver profondément regrettable que, non contente de parler le français avec un accent aussi abominable qu'incompréhensible, Mlle Lewis ait négligé même d'apprendre le texte de son rôle. J'ai vu Mlle Jannie Marèse et M. Robert Allard bien souvent meilleurs. Je veux croire que la faute en incombe aux rôles plus qu'à eux-mêmes. La scène la mieux réussie à tous points de vue est une scène tout à fait secondaire qui arrive à la fin de la pièce, très drôlement jouée par Mme Marthe Derminy et M. Rognoni. (Lyrica n° 105, mai 1931)
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Roger Bourdin en 1924 [photo Tscherniak]
Roger Bourdin dans le Roi malgré lui (Henri de Valois) en 1946
Geori Boué (la Princesse) et Roger Bourdin (Mârouf) dans Mârouf, savetier du Caire à l'Opéra de Paris en 1949
"Ne bronchez pas" extrait de l'acte I de Manon de Massenet Roger Bourdin (Lescaut) et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 188.508, mat. KI 1083-2, enr. en décembre 1926
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Quatuor extrait de l'acte II de Manon de Massenet Emma Luart (Manon), Charles Friant (Des Grieux), Roger Bourdin (Lescaut), Jean Vieuille (Brétigny) et Grand Orchestre dir. Gustave Cloëz Odéon 123.581, mat. XXP 6743-2 et XXP 6744-1, enr. vers 1929
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"A quoi bon l'économie" extrait de l'acte III de Manon de Massenet Roger Bourdin (Lescaut) et Orch. de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 188.508, mat. KI 1156-1, enr. en 1927
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Légende de la Sauge extrait de l'acte II du Jongleur de Notre-Dame de Massenet Roger Bourdin (Boniface) et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 171.016, mat. XXP 6450-1, enr. vers 1927
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Chanson "Je suis aymé" extrait de l'acte I de la Basoche de Messager Roger Bourdin (Clément Marot) et Orchestre dir. Gustave Cloëz Odéon 188.844, mat. KI 4765-1, enr. en 1931
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Couplets "A ton amour" extrait de l'acte III de la Basoche de Messager Roger Bourdin (Clément Marot) et Orchestre dir. Gustave Cloëz Odéon 188.844, mat. KI 4766-1, enr. en 1931
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Finale "En amour, il n'est pas de grade" extrait de l'acte I de Coups de roulis de Messager Roger Bourdin (Kermao), Chœurs et Orchestre dir. Paul Minssart Odéon 166.533, mat. KI 5373-1, enr. en 1931
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Romance "Ce n'est pas la première fois" extrait de l'acte II de Coups de roulis de Messager Roger Bourdin (Kermao) et Orchestre dir. Paul Minssart Odéon 166.533, mat. KI 5371, enr. en 1931
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Air "Vrai Dieu, mes bons amis" extrait de l'acte I de Véronique de Messager Roger Bourdin (Florestan) et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 188.552, mat. KI 1447-3, enr. vers 1928
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Duetto de l'âne extrait de l'acte II de Véronique de Messager Emma Luart (Hélène), Roger Bourdin (Florestan) et Orchestre dir Gustave Cloëz Odéon 188711, mat. KI 3204-1, enr. le 07 décembre 1929
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Duo de l'escarpolette extrait de l'acte II de Véronique de Messager Emma Luart (Hélène), Roger Bourdin (Florestan) et Orchestre dir Gustave Cloëz Odéon 188710, mat. KI 3202 et KI 3203, enr. le 07 décembre 1929
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la Lettre "Adieu ! je pars" extrait de l'acte II de Véronique de Messager Roger Bourdin (Florestan) et Orchestre enr. en 1930
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Couplets du Toréador extrait de l'acte II de Carmen de Bizet Roger Bourdin (Escamillo), Chœurs et Orch. de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 171.013, mat. XXP 6454-2, enr. en 1927/1928
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Duo "Je suis Escamillo" extrait de l'acte III de Carmen de Bizet Charles Friant (Don José), Roger Bourdin (Escamillo) et Orchestre de l'Opéra-Comique dir Gustave Cloëz Odéon 171.013, mat. XXP 6444-1, enr. en 1927/1928
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Chanson "C'est vers ton amour" extrait de l'acte II de Don Quichotte de Massenet Roger Bourdin (Don Quichotte) et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 188.552, mat. KI 1524-1, enr. vers 1928
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(Jules Massenet) Roger Bourdin, baryton, et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 188.551, mat. KI 1448-4 et KI 1449-4, enr. en 1927/1928
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Stances "Lakmé, ton doux regard se voile" extrait de l'acte II de Lakmé de Delibes Roger Bourdin (Nilakantha) et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 171.016, mat. XXP 6451-2, enr. vers 1927
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la Marseillaise (Claude Joseph Rouget de Lisle) Roger Bourdin, Chœurs et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 171.018, mat. XXP 6453-2, enr. vers 1927
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le Chant du Départ (Marie Joseph de Chénier / Etienne Méhul) Roger Bourdin et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 171.018, mat. XXP 6466-1, enr. vers 1927
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Cantique de Noël "Minuit, Chrétiens" (Placide Cappeau de Roquemaure / Adolphe Adam) Roger Bourdin et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 123.513, mat. XXP 6543-1, enr. le 01 décembre 1927
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Récit "C'est une toute petite histoire" extrait de l'acte I du Bon roi Dagobert de Samuel-Rousseau Roger Bourdin (Eloi) et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 188.583, mat. KI 1652-1, enr. le 25 avril 1928
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les Deux Grenadiers lied (Heinrich Heine / Robert Schumann) [version française] Roger Bourdin et Piano Odéon 123.614, mat. XXP 6812, enr. le 25 janvier 1929
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le Petit rentier Ballade (Paul Fort / Gabriel Pierné) Roger Bourdin et Septuor dir. Gustave Cloëz Odéon 188.560, mat. KI 1522-1, enr. le 01 février 1928
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Complainte des arches de Noé Ballade (Paul Fort / Gabriel Pierné) Roger Bourdin et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. Gustave Cloëz Odéon 188.560, mat. KI 1523-1, enr. le 01 février 1928
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les Vieilles de chez nous Mélodie (Jules Lafforgue / Charles Levadé) Roger Bourdin et Piano Odéon 188.564, mat. KI 1542-2, enr. le 04 février 1928
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les Berceaux Mélodie (Sully Prudhomme / Gabriel Fauré) Roger Bourdin et Piano Odéon 188.564, mat. KI 1543-2, enr. le 04 février 1928
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Lydia Mélodie (Leconte de Lisle / Gabriel Fauré) Roger Bourdin et Piano Odéon 188.634, mat. KI 2169, enr. le 25 janvier 1929
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les Roses d'Ispahan Mélodie (Leconte de Lisle / Gabriel Fauré) Roger Bourdin et Piano Odéon 188.634, mat. KI 2170, enr. le 25 janvier 1929
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Air "Fête complète sous ta baguette" extrait de l'acte I de Don Juan de Mozart [version française] Roger Bourdin (Don Juan) et Orchestre dir. Gustave Cloëz Odéon 188.663, mat. KI 2441-1, enr. en juillet 1929
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Sérénade extrait de l'acte II de Don Juan de Mozart [version française] Roger Bourdin (Don Juan) et Orchestre dir. Gustave Cloëz Odéon 188.663, mat. KI 2442-1, enr. en juillet 1929
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Sérénade extrait du Chant du Cygne de Schubert [version française de Guillot de Saix] Roger Bourdin et Piano Odéon 123.614, mat. XXP 6811-2, enr. en avril 1930
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"le Plus beau rêve de Schubert" extrait de Chanson d'amour de Berté (d'après Schubert) Roger Bourdin et Orchestre dir. Gustave Cloëz Odéon 188.711, mat. KI 4767-1, enr. en 1931
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"Pour vivre auprès de vous" valse de Rose de France de Sigmund Romberg Roger Bourdin (Beauval, créateur) et Grand Orchestre du Châtelet dir Maurice Frigara Odéon 166.705, mat. KI 6248-2, enr. en 1933
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"Je vous aimerai dans l'ombre" de Rose de France de Sigmund Romberg Roger Bourdin (Beauval, créateur) et Grand Orchestre du Châtelet dir Maurice Frigara Odéon 166.705, mat. KI 6249-2, enr. en 1933
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"Rose de France" tango de Rose de France de Sigmund Romberg Roger Bourdin (Beauval, créateur) et Grand Orchestre du Châtelet dir Maurice Frigara Odéon 166.706, mat. KI 6250-1, enr. en 1933
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"Frivolette" valse-duo de Rose de France de Sigmund Romberg Roger Bourdin (Beauval, créateur), Jeanne Perriat et Grand Orchestre du Châtelet dir Maurice Frigara Odéon 166.706, mat. KI 6251-2, enr. en 1933
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Triolets "Que ne puis-je la rencontrer" extrait de l'acte I de Miss Helyett d'Audran Roger Bourdin (Paul) et Orchestre dir. Gustave Cloëz Odéon 166.656, mat. KI 5989-1, le 15 avril 1933
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Air de la Calomnie extrait de l'acte II du Barbier de Séville de Rossini [version française de Castil-Blaze] Roger Bourdin (Don Basile), Louis Musy (Bartholo) et Orchestre de l'Opéra-Comique dir. André Cluytens version filmée, 1948
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Air de la Calomnie extrait de l'acte II du Barbier de Séville de Rossini [version française de Castil-Blaze] Roger Bourdin (Basile) et Orchestre des Concerts Pasdeloup dir Albert Wolff Saturne 0 704, mat. 1.123, enr. en 1953
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"Bel enfant amoureux et volage" extrait de l'acte I des Noces de Figaro de Mozart [version française de Ferrier, Barbier et Carré] Roger Bourdin (Figaro) et Orchestre des Concerts Pasdeloup dir Albert Wolff Saturne 0 704, mat. 1.125, enr. en 1953
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voir également les enregistrements de Thaïs (intégrale), Véronique (intégrale)