Marcel BERTRAND

 

 

 

Marcel Louis Étienne BERTRAND dit Marcel BERTRAND

 

compositeur français

(52 rue de Rome, Paris 8e, 10 juillet 1883* – Nyon Hôpital, canton de Vaud, Suisse, 06 août 1945)

 

Fils d’Ernest Noël BERTRAND (16 rue Saint-Maur, Paris ancien 8e [auj. 11e], 24 avril 1850* – 31 rue de Berlin, Paris 8e, 09 mars 1905*), directeur de théâtre [frère d’Eugène BERTRAND, directeur de théâtre], et de Marthe Marie Alice OBIN (Paris ancien 1er, 22 juillet 1858* – Saint-Germain-en-Laye, Seine-et-Oise [auj. Yvelines], juillet 1955) [fille de Louis-Henri OBIN, basse de l’Opéra], mariés à Paris 8e le 29 novembre 1880*.

Epouse à Paris 16e le 21 avril 1910* Cécile Suzanne LECARON (33 rue de la Bienfaisance, Paris 8e, 26 mars 1889* 184 rue du Faubourg-Saint-Antoine, Paris 12e, 16 août 1965*), fille de Jean Baptiste Eugène Maurice LECARON (37 rue des Vieux-Augustins, Paris ancien 3e, 03 novembre 1858* 94 boulevard Flandrin, Paris 16e, 08 décembre 1907*), parfumeur, et de Camille Marie Léonie BLANCHE (6 rue Dangeau, Paris 16e, 21 avril 1867* 34 rue de Clichy, Paris 9e, 19 mars 1954*).

 

 

Au Conservatoire de Paris il obtint une 3e médaille de solfège en 1897, un 2e accessit de contrepoint et fugue en 1905, un 1er accessit de fugue en 1906, et le premier prix de fugue en 1907. Il fut également critique musical à la Revue française.

Il a été nommé chevalier de la Légion d’honneur le 26 août 1933.

En 1905, il habitait 31 rue de Berlin [auj. rue de Liège] à Paris ; en 1933, 80 boulevard Flandrin à Paris 16e. Il est décédé en 1945 à soixante-deux ans.

 

 

 

œuvres lyriques

 

Ghyslaine, drame lyrique en 1 acte, livret de Gustave Guiches et Marcel Frager (Opéra-Comique, 26 février 1908) => fiche technique

le Sommeil d’Endymion, scène lyrique avec chœurs, poème de Lucien Paté (1909)

les Heures de l’amour, poème lyrique en 1 acte et 3 tableaux, livret de Mme Roussel-Despierres (Opéra de Monte-Carlo, 14 mars 1911, avec Mmes Dubel, Bailac, Heilbronner, M. Léon Campagnola) => valse lente

la Terre qui meurt, drame lyrique en 4 actes et 5 tableaux, livret de René Bazin (Théâtre des Arts de Rouen, 15 janvier 1913)

Sainte Odile, drame lyrique en 3 actes, livret de Georges Lignereux (Opéra-Comique, 05 novembre 1923) => fiche technique

la Petite Papacoda, 3 actes tiré du roman éponyme de Paul Reboux (1923)

Plus que reine, drame lyrique en 4 actes, livret d’Henri Cain (Opéra de Nice, 15 février 1929) => fiche technique

Edgard et sa bonne, opérette en 1 acte, livret de José de Bérys, d'après Eugène Labiche (Casino de Cannes, 27 mars 1929)

Ileana, ballet en 1 acte, livret de Marcel Bertrand (Opéra, 20 mai 1936) => fiche technique

Amphitryon 38, pièce lyrique en 3 actes, livret d’Alexandre Guinle (Opéra-Comique, 25 janvier 1944) => fiche technique

 

mélodies

 

40 mélodies

Chanson de l’Ondine (la), poésie d’Henri Malteste

Dernier sommeil (1922) => partition

Veillée (la), poésie d’Hugues Lapaire (1922) => partition

Vieux (les), poésie de Jacques de Féraudy (1917)

 

œuvres symphoniques

 

Rayon de soleil dans les tranchées (1re audition à Monte-Carlo)

Évocation d’Orient (1re audition aux Concerts Colonne, 1931)

2 poèmes lyriques de Baudelaire (1re audition aux Concerts Lamoureux)

Sonate pour piano et violon

Suite pour violoncelle

 

 

                             

 

la Chanson de l'Ondine, poésie d'Henri Malteste, musique de Marcel Bertrand

 

 

 

         

 

les Vieux, poésie de Jacques de Féraudy, musique de Marcel Bertrand

 

 

 

 

 

 

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