l'Arlésienne

 

 

 

Mélodrame en trois actes et cinq tableaux avec symphonies et chœurs d'Alphonse DAUDET, d'après sa nouvelle extraite des Lettres de mon moulin (1869), musique de scène de Georges BIZET (op. 23).

 

   partition

A mon ami Hippolyte Rodrigues

 

livret avec esquisses musicales de Bizet

 

partition manuscrite

 

   livret

 

Adagietto transcrit pour violon et piano par Jules Danbé

 

 

 

Création au théâtre du Vaudeville le 01 octobre 1872 ; décors de Chéret, Cambon, Rubé et Chaperon. 19e et dernière représentation le 18 octobre 1872.

 

Première à l’Opéra-Comique (3e salle Favart) le 28 novembre 1908. Farandole réglée par Mariquita.

 

Première au Théâtre de l'Opéra (Palais Garnier) (4e et 5e actes seulement), le 20 juin 1914, à l'occasion d'un Gala en l'honneur de l'acteur André Antoine.

 

Repris intégralement au Palais Garnier le 24 juin 1925, à l'occasion d'un Gala au bénéfice des Comédiens anciens Combattants.

« Farandole » et « Divertissement » dansés par Mlles Zambelli, Soutzo, MM. Albert Aveline, Denizart, Moysenko et le Corps de ballet de l'Opéra.

 

2 représentations à l’Opéra au 31.12.1961.

 

 

 

personnages

Vaudeville, 01 octobre 1872

(création)

Opéra de Paris, 20 juin 1914

(première)

Opéra de Paris, 24 juin 1925

(2e)

Rose Mamaï, 40 ans Mmes Anaïs FARGUEIL Mmes Gilda DARTHY Mmes Madeleine ROCH
la Renaude, 70 ans Clémence ALEXIS Blanche PIERSON Yvette GUILBERT
l'Innocent, second petit-fils de Francet, 13 ans MORAND SIMONE G. GUESNIER
Vivette, 17 ans Julia BARTET Edmée FAVART Gaby MORLAY
une Servante LEROY R. BOYER T. NAVAR
Balthazar, chef des bergers, 70 ans MM. Jean-Auguste PARADE MM. Paul MOUNET MM. Léon BERNARD
Frédéri, petit-fils de Francet Mamaï, 20 ans ABEL Albert LAMBERT fils Pierre FRESNAY
Patron Marc, marinier du Rhône COLSON VILBERT VILBERT
Francet Mamaï, fermier de Castelet, 65 ans CORNAGLIA DENIS D'INÈS BERTHIER
Mitifio RÉGNIER ALEXANDRE ALEXANDRE
l'Équipage Pierre LACROIX   les FRATELLINI
un Valet (un Gardien de chevaux, 30 ans) MOISSON DERVIGNY A. BERLEY
Chef d'orchestre Charles CONSTANTIN Philippe MOREAU Henri BÜSSER

 

La scène se passe dans l'Ile de Camargue en Provence.

 

 

 

Julia Bartet dans l'Arlésienne (Vivette)

 

 

 

 

Albert Lambert fils dans l'Arlésienne (Frédéri) le 05 mai 1885 à l'Odéon [BNF]

 

 

 

Paul Mounet dans l'Arlésienne (Balthazar) le 05 mai 1885 à l'Odéon [BNF]

 

 

 

 

La donnée de cette pièce semble avoir été indiquée à l'auteur par la lecture d'un de ces faits divers qui noircissent tristement la troisième page des journaux ; c'est un suicide par amour. Un jeune paysan de la Camargue, Frédéri, est amoureux d'une Arlésienne qu'on dit être fort belle, mais qu'on ne voit pas dans la pièce. Au moment de l'épouser, il apprend qu'elle en est indigne ; des lettres produites par un amant de cette fille achèvent de lui faire perdre la raison. Sa mère veut lui faire épouser une charmante jeune fille qui l'aime. Frédéri repousse durement sa tendresse, et lorsque sa mère, au désespoir, accorde son consentement à son union avec l'Arlésienne, il refuse et, finalement, va se précipiter du haut d'une tourelle, sous les yeux de sa mère. L'esprit et le sentiment dont l'auteur a fait preuve dans les détails de la pièce et dans le dialogue ont pu seuls faire accepter un fond si pauvre et un dénouement si peu intéressant. La musique a été très appréciée, quoique les morceaux de la partition ne soient pas assez reliés à l'action dramatique et paraissent des hors-d’œuvre. Les chœurs sont exécutés dans les coulisses ; des mélodies provençales, avec imitation de galoubet et de tambourin, ont fourni les principaux thèmes, entre autres, le noël attribué au roi René, et qu'on appelait dans le comtat d'Avignon la Marche des rois.

La musique, écrite par M. Georges Bizet, a été aussi exécutée au Concert populaire. Le genre pastoral domine dans ces fragments. On y a remarqué un joli menuet et un adagio bien instrumenté. L'instrumentation se compose de sept premiers violons, de deux altos, cinq violoncelles, deux contrebasses, une flûte, un hautbois, un cornet à pistons, deux cors, deux bassons, timbales, harmonium et piano.

(Félix Clément, Dictionnaire des opéras, supplément, 1872)

 

 

 

 

 

Au Vaudeville, de par M. Carvalho, la musique a fait aussi élection de domicile, mais passagèrement et subsidiairement, au seul point de vue décoratif si l’on peut s'exprimer ainsi. En effet, la mise en scène de l'Arlésienne appelait çà et là quelques fragments symphoniques ou chorals et M. Georges Bizet a été chargé de la délicate mission de les encadrer dans l'action et dans le décor, afin d'obtenir le tout le plus homogène, le plus artistique possible, à la hauteur du style relevé de l'œuvre et des splendeurs pittoresques dues à MM. Chéret, Cambon, Rubé et Chaperon. Un petit orchestre fin et des voix plus que suffisantes sont mises à la disposition de M. Georges Bizet qui a conçu sa petite partition sur un plan absolument neuf. Si on parvenait à dissimuler absolument l'orchestre et qu'il pût devenir invisible, l'effet serait d'autant plus saisissant et rentrerait dans les conditions rêvées par le directeur, l'auteur et le compositeur.

(le Ménestrel, 18 août 1872)

 

 

 

 

 

Un jeune paysan de la Camargue, Frédéri, est amoureux d'une belle Arlésienne. Au moment de l'épouser, il apprend qu'elle est indigne de son amour. Des lettres produites par un amant de cette fille lui font perdre la raison. Après avoir durement repoussé la tendresse d'une charmante jeune fille laquelle on veut le marier, après avoir refusé de s'unir à l'Arlésienne quand sa mère au désespoir a fini par lui donner son consentement, il va se précipiter du haut d'une tourelle, sous les yeux mêmes de la malheureuse femme.

L'œuvre est inégale, un peu pauvre d'invention, mais charmante en ses détails, avec un souffle de poésie. La partition, tout empreinte du sentiment agreste et de la couleur locale qu'elle devait comporter, comprenait une ouverture-prélude, des entractes, un intermezzo, un adagietto, une farandole, des mélodrames exquis, et plusieurs chœurs, tous chantés dans la coulisse. Petit chef-d’œuvre de grâce et de fraîcheur, elle reste, avec la partition de Carmen, le plus beau titre de son auteur à la reconnaissance des artistes et du public. Plus tard, Bizet forma, avec les principaux morceaux de cette partition, et en en complétant l'instrumentation, une délicieuse suite d'orchestre, qui obtint partout un immense succès.

(Nouveau Larousse Illustré, 1897-1904)

 

 

 

 

l'Arlésienne au théâtre de l'Odéon en novembre 1921

 

 

 

 

Rose Mamaï, qui aime éperdument son fils Frédéri, voudrait le marier avec Vivette. Or, Frédéri a rencontré un dimanche une fille d'Arles et s'en est épris. L'oncle Marc qui a été aux renseignements en apporte d'excellents. Mais un homme surgit et remet des lettres prouvant que l'Arlésienne est sa maîtresse depuis deux ans.

Frédéri, désespéré, veut mourir. Sa mère alors lui annonce qu'elle lui donnera l'Arlésienne ; mais il refuse ; celle qui portera son nom devra en être digne et ce sera Vivette.

On célèbre les accordailles, Frédéri semble avoir oublié l'Arlésienne, quand l'homme qui avait apporté les lettres vient les rechercher. Frédéri bondit sur lui, furieux, et le passé qu'on croyait enfoui à jamais reparaît vivant, terrible.

Après le départ de l'homme, Frédéri se mêle à la fête, mais sa joie sonne faux et le soir ne pouvant résister, il se jette par une fenêtre et se brise le crâne sur les dalles de la cour.

(programme du théâtre de l'Odéon, novembre 1921)

 

 

 

 

                   

 

l'Arlésienne au Théâtre de l'Odéon le 05 mai 1885, dessins d'Adrien Marie

 

 

 

 

l'Arlésienne, 1re suite d'orchestre, par Georges Bizet (novembre 1872) [1. Prélude ; 2. Menuet ; 3. Adagietto ; 4. Carillon] => partition [On en a tiré le ballet Farandole].

 

l'Arlésienne, 2e suite d'orchestre, réunie par Ernest Guiraud (1879) [1. Pastorale ; 2. Intermezzo ; 3. Menuet ; 4. Farandole] => partition [On en a tiré le ballet Fête arlésienne].

 

 

 

Farandole

 

Farandole extraite de la 1re suite d'orchestre de l’Arlésienne.

 

Création au Théâtre de l'Opéra (Palais Garnier) le 26 juin 1909, à l'occasion d'un gala au bénéfice des sinistrés de Marseille. Chorégraphie de Léo Staats.

Mlles KSCHEGINSKA, Aïda BONI, LOBSTEIN et le Corps de ballet.

Chef d'orchestre : André MESSAGER

Seule représentation à l’Opéra au 31.12.1961.

 

 

 

Fête arlésienne

 

Ballet. Musique de la 2e suite d'orchestre de l'Arlésienne.

 

Création à l'Opéra-Comique (3e salle Favart) le 29 mai 1959. Chorégraphie de Jacques Chazot.

 

 

 

 

Amoureux d’une belle Arlésienne (qui ne paraît pas dans la pièce), un jeune paysan, Frédéri, apprend, par des lettres qu’on lui montre, l’indignité de cette femme. Le jeune et tendre amour de Vivette, la vigilance de sa mère, non plus que les conseils d’un vieux berger ne parviendront à retenir le jeune homme, qui se suicidera de désespoir.

 

Cette partition, tout empreinte des voix de la nature provençale, accentue et achève l’épopée rurale du poète (la Marche de Turenne, l’Etang de Vaccarès, la Cuisine, la Cour de Castelet, Carillon). L’auteur a été l’un des premiers musiciens à utiliser un saxophone solo, dans l’Intermezzo en mi bémol.

 

En 1872, lorsque Bizet écrivit à l’âge de trente-quatre ans la musique d’accompagnement pour la pièce de Alphonse Daudet l’Arlésienne, il n’avait seulement que trois ans à vivre et il ne vit jamais le succès final et complet de Carmen.

 

Bien que la musique de l’Arlésienne n’eût aucun succès durant la représentation de la pièce à l’Odéon en octobre 1872, la suite orchestrale, que Bizet donna à Pasdeloup, fut immédiatement appréciée en concert. La deuxième suite fut assemblée (en 1880) après la mort de Bizet par son ami Ernest Guiraud.

 

La pièce de Daudet est une histoire d’amour régionale et sa couleur locale provençale était certainement sa plus grande attraction aux yeux de Bizet. Frédéri est amoureux d’une Arlésienne, décidé à l’épouser et à la ramener à la ferme ancestrale pour y vivre. Lorsqu’il apprend qu’elle est la maîtresse d’un autre homme, il sombre dans une dépression qui se termine en suicide. L’Arlésienne n’apparaît jamais mais la gentille Vivette fait de son mieux pour substituer son amour innocent et lyrique pour la passion de l’autre femme.

 

L’Arlésienne Suite n° 1 comprend un Prélude, un Menuet, un Adagietto, et un Carillon. Le Prélude commence par la Marcho di Rèi, un air provençal qui date du 18e siècle. La marche est suivie par un Andante construit sur le thème du saxophone que l’on associe avec le frère de Frédéri qui est retardé mental, et le Prélude se termine avec la musique tourmentée propre à Frédéri.

 

Le Menuet est en réalité l’intermède qui sépare le deuxième et le troisième actes de la pièce de Daudet. L’allegro giocoso en do mineur est suivi par un trio extensif en la bémol. Dans la pièce la musique de l’Adagietto forme la toile de fond pour la conversation des deux vieillards, Balthazar et Mère Renaud, qui se rencontrent après cinquante ans et se rappellent les sentiments qu’ils laissèrent inexprimés quand ils étaient jeunes. Dans ce passage Bizet réussit une tendresse et une douce délicatesse sans un soupçon de sentimentalité. Le carillon est un court allegro moderato en mi basé sur une figure répétée de trois notes et forme l’introduction à l’Acte III.

 

L’Arlésienne Suite n° 2 comprend une Pastorale, Intermezzo, Menuet et Farandole. Le deuxième acte de l’Arlésienne prend place près de l’Etang de Vaccarès, vaste marais où paissent les troupeaux. La Pastorale (andante sostenuto) domine la scène, pastorale de caractère mais intensifiée par l’aveuglant soleil qui tape dans les mesures du début.

 

L’Intermède (acte II, scène 2) se situe dans la cuisine de la ferme de la maison de Frédéri. L’entracte de Bizet suggère sa simplicité et son innocence primitive, illuminée par la tendresse maternelle de la mère de Frédéri, exprimée par le saxophone et la mélodie du cor de la section du milieu.

 

Le Menuet fut emprunté par Guiraud à l’Opéra de Bizet la Jolie fille de Perth (Acte III) pour donner du poids à l’ouvrage. La Farandole, une danse paysanne est basée sur une mélodie provençale, la Danse dei Chivau-Frus, et Bizet suggère le fifre et le tambourin en accompagnement familier des danses folkloriques anglaises.

 

 

 

 

 

« Je ne puis me passer de la scène : sans elle, je ne suis rien ». En 1872, Georges Bizet n'était encore que l'auteur malheureux des Pêcheurs de perles (1863), de la Jolie Fille de Perth (1868), et venait de subir l'échec de Djamileh à l'Opéra-Comique.

Il s'acharnait : il savait que c'était là sa place. Si l'on excepte sa juvénile Symphonie en Ut, l'œuvre de Bizet n'existe que par la scène, et ce ne sont pas l'Ouverture de Patrie ou les deux mouvements de la Symphonie Roma qui lui eussent conféré l'immortalité.

Dès le Docteur Miracle, qui lui valait à dix-neuf ans l'estime d'Offenbach, son activité créatrice s'orienta donc, instinctivement, vers la musique dramatique. Il avait senti les immenses possibilités qui s'offraient aux compositeurs français dans ce domaine dont Meyerbeer, à l'inverse des romantiques d'outre-Rhin, n'avait qu'à peine envisagé l'aspect purement musical.

Bien que parisien, une obscure inclination l'orienta toujours vers l'évocation d'atmosphères méditerranéennes. Aussi put-il s'enthousiasmer à l'idée d'improviser en quelques semaines la musique de scène d'un mélodrame provençal qu'Alphonse Daudet rédigeait à la hâte pour le Vaudeville. Le budget musical du théâtre étant limité, la partition ne sollicitera que vingt-six musiciens, parmi lesquels un timbalier, un pianiste et, nouveauté très remarquée, un saxophoniste.

L'œuvre de Daudet promettait : ce mélodrame à la Mérimée mettait en scène la désintégration d'une vieille famille patriarcale par le truchement d'une brûlante histoire d'amour : Frédéri, épris d'une mystérieuse Arlésienne (on sait qu'elle ne paraît pas en scène), mais convaincu de son indignité, doit renoncer à l'épouser ; sombrant dans la démence, il se suicidera le jour même de la fête du pays.

Dans l'euphorie de la nouvelle saison, tout le monde se surprenait à être optimiste... Pourtant, sans être un échec, la pièce n'eut que quinze représentations (octobre 1872). Bizet, déçu mais conscient de la valeur de sa partition, décida d'en extraire immédiatement une suite d'orchestre, laquelle, privée du cadre scénique, saurait mieux imposer son originalité, sa couleur, sa sincérité. Cette première suite fin acclamée un mois plus tard aux concerts du Cirque populaire, l'année suivante chez Pasdeloup, en attendant la consécration : une exécution par l'Orchestre du Conservatoire, le 21 février 1875, quinze jours avant Carmen.

La première partie du Prélude expose un thème martial (la marche des trois Rois, transcription populaire de l'ancienne Marche de Turenne), la seconde, plus mouvementée, plus dramatique, prépare aux péripéties de la pièce. La couleur provençale du Minuetto qui suit travestit curieusement cette danse du XVIIIe siècle. L'Adagietto tire son étrangeté de sa tonalité, imprécise jusqu'aux dernières mesures. Le Carillon final est lui aussi marqué par l'angoisse, lors des trois interruptions qui entravent son cours.

Après la mort du compositeur, son ami Ernest Guiraud devait tirer de la partition intégrale une seconde suite dont la comparaison avec la première n'est pas sans intérêt : Bizet, sans doute par pudeur, avait évité autant que possible de rassembler les épisodes par trop expressionnistes ; Guiraud réunit les passages les plus susceptibles de récolter un succès, mérité bien sûr, mais plus évident.

La Pastorale par laquelle débute cette seconde série évoque l'étang de Vaccarès et les immensités marécageuses de Camargue. Réussite d'autant plus sensible qu'elle n'utilise qu'une orchestration très sobre et des thèmes originaux. L'Intermezzo est d'ordre psychologique : il nous fait partager l'angoisse de Frédéri. Le Menuet fait écho à celui de la première suite. Enfin, l'irrésistible Farandole réutilise la marche des Rois du Prélude combinée avec un autre thème provençal célèbre. Elle termine cette suite dans une exubérance bien éloignée de la fin tragique de l'œuvre de Daudet, mais constitue un remarquable bis de concert.

Cette nouvelle Arlésienne connut bientôt un succès aussi enviable que la précédente.

(Marcel Marnat, 1960)

 

 

 

 

 

    

 

Marche des Rois

Chœurs et Orchestre

Disque Pour Gramophone 34703, mat. 5742h, enr. à Paris vers 1908

 

    

 

Marche des Rois

Hippolyte Belhomme, Henri Dangès, David Devriès, Louis Nansen et Orchestre

Pathé saphir 90 tours n° 777, réédité sur 80 tours n° 2508, enr. en 1910

 

Scène de la Renaude

Yvette Guilbert (la Renaude), X (Balthazar) et Orchestre

enr. en 1940

 

    

 

Ouverture

Orchestre Symphonique dir Pierre Chagnon

Columbia D 6293, mat. L 622-1 et L 623-1, enr. le 14 décembre 1927

 

 

   

 

Acte II. Pastorale (l'Etang de Vaccarès)

Orchestre Symphonique dir Pierre Chagnon

Columbia D 6294, mat. L 624-1, enr. le 14 décembre 1927

 

 

    

 

Acte II. Chœurs suivant la Pastorale

Chœurs du Théâtre National de l'Odéon

Orchestre Symphonique dir Pierre Chagnon

Columbia D 6294, mat. L 635-1, enr. le 15 décembre 1927

 

 

    

 

Acte II. Entr'acte (la Cuisine de Castelet)

Orchestre Symphonique dir Pierre Chagnon

Columbia D 6295, mat. L 625-1, enr. le 14 décembre 1927

 

 

    

 

Acte II. Intermezzo (Minuetto)

Orchestre Symphonique dir Pierre Chagnon

Columbia D 6295, mat. L 626-1, enr. le 14 décembre 1927

 

 

    

 

Acte III. Entr'acte (Carillon)

Orchestre Symphonique dir Pierre Chagnon

Columbia D 6296, mat. L 631-1, enr. le 15 décembre 1927

 

 

   

 

Acte III. Mélodrame (Adagietto)

Orchestre Symphonique dir Pierre Chagnon

Columbia D 6296, mat. L 633-1, enr. le 15 décembre 1927

 

 

    

 

Acte III. Farandole

Orchestre Symphonique dir Pierre Chagnon

Columbia D 6297, mat. L 632-1, enr. le 15 décembre 1927

 

 

    

 

Acte III. Marche des Rois

Chœurs du Théâtre National de l'Odéon

Orchestre Symphonique dir Pierre Chagnon

Columbia D 6297, mat. L 634, enr. le 15 décembre 1927

 

 

    

 

Suite n° 1 : Prélude

Orchestre des Concerts Colonne dir Edouard Colonne

Pathé saphir 90 tours n° 8947, réédité sur 80 tours n° 6203, enr. en 1906/1907

 

 

    

 

Suite n° 1 : Minuetto

Orchestre des Concerts Colonne dir Edouard Colonne

Pathé saphir 90 tours n° 8946, réédité sur 80 tours n° 6203, enr. en 1906/1907

 

 

 

Suite n° 2 : Intermezzo

Orchestre des Concerts Colonne dir Edouard Colonne

Pathé saphir 90 tours n° 8945, réédité sur 80 tours n° 6206, enr. en 1906/1907

 

 

    

 

Suite n° 1 : Adagietto

Fritz Kreisler (violon) et Quatuor à cordes

Gramophone DA 264, mat. 4-7964, enr. le 29 mai 1916

 

 

    

 

Suite n° 1 : Adagietto

Quatuor à cordes

Disque Pour Gramophone 30727, mat. 15523u, enr. vers 1910

 

 

    

 

Suite n° 2 : Farandole

Orchestre Pathé Frères

Pathé saphir 90 tours n° 6473-7, enr. vers 1910

 

 

    

 

Suite n° 2 : Farandole

Orchestre de l'Albert Hall de Londres

Disque Pour Gramophone 030707, mat. ho385aj, réédité sur W 384, enr. vers 1920

 

 

    

 

Suite n° 1 : Prélude

Musique de la Garde Républicaine dir César Bourgeois

Pathé saphir 80 tours n° 6700, mat. 7255, enr. le 03 novembre 1924

 

 

    

 

Suite n° 2 : Farandole

Musique de la Garde Républicaine dir César Bourgeois

Pathé saphir 80 tours n° 6700, mat. 7261, enr. le 03 novembre 1924

 

 

         

 

Suite n° 1 : Ouverture

Grand Orchestre Symphonique dir Gustave Cloëz

Odéon 165.051, mat. KI 1071-2 et KI 1072-2, enr. en décembre 1926

 

 

    

 

Suite n° 1 : Minuetto

Grand Orchestre Symphonique dir Gustave Cloëz

Odéon 165.053, mat. KI 1073-2, enr. en décembre 1926

 

 

    

 

Suite n° 1 : Adagietto

Grand Orchestre Symphonique dir Gustave Cloëz

Odéon 165.054, mat. KI 1084-2, enr. en décembre 1926

 

 

    

 

Suite n° 1 : Carillon

Grand Orchestre Symphonique dir Gustave Cloëz

Odéon 165.053, mat. KI 1074-2, enr. en décembre 1926

 

 

   

 

Suite n° 2 : Pastorale

Grand Orchestre Symphonique dir Gustave Cloëz

Odéon 165.052, mat. KI 1075-2, enr. en décembre 1926

 

 

    

 

Suite n° 2 : Intermezzo

Grand Orchestre Symphonique dir Gustave Cloëz

Odéon 165.052, mat. KI 1082-1, enr. en décembre 1926

 

 

    

 

Suite n° 2 : Farandole

Grand Orchestre Symphonique dir Gustave Cloëz

Odéon 165.054, mat. KI 1076-2, enr. en décembre 1926

 

 

         

 

Suite n° 1 : Prélude

Orchestre Symphonique dir François Rühlmann

Pathé X 5409, mat. N 8241 et N 8242, enr. vers 1927

 

 

         

 

Suite n° 1 : Prélude

Orchestre dir François Rühlmann

Pathé X 8795, mat. N 350.034 et N 350.035, enr. vers 1929

 

 

         

 

Suite n° 1 : Carillon

Orchestre dir François Rühlmann

Pathé X 8797, mat. N 350.038 et N 350.039, enr. vers 1929

 

 

    

 

Suite n° 2 : Menuet

Association Artistique des Concerts Colonne dir Gabriel Pierné

Odéon 123.688, mat. XXP 7030-2, enr. salle du Conservatoire le 10 février 1930

 

 

    

 

Suite n° 2 : Farandole

Association Artistique des Concerts Colonne dir Gabriel Pierné

Odéon 123.688, mat. XXP 7037-3, enr. salle du Conservatoire le 10 février 1930

 

 

    

 

Suite n° 2 : Pastorale

Orchestre dir Désiré Emile Inghelbrecht (saxophone solo : Jules Viard)

Pathé X 96.226, mat. N 350.175, enr. vers 1930

 

 

    

 

Suite n° 2 : Intermezzo

Orchestre dir Désiré Emile Inghelbrecht

Pathé X 96.226, mat. N 350.176, enr. vers 1930

 

 

                                       

 

Suite n° 1 : 01. Prélude - 02. Minuetto - 03. Adagietto - 04. Carillon.   Suite n° 2 : 05. Pastorale - 06. Intermezzo - 07. Menuet - 08. Farandole

Orchestre des Concerts Lamoureux dir Jean Fournet [07 : F. Carratgé, flûte solo]

enr. en 1956

 

 

 

 

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