Richard O'MONROY

 

 

 

Jean Edmond Richard de L'ISLE de FALCON, vicomte de SAINT-GENIÈS, dit Richard O'MONROY

littérateur français

(16 rue Verte, Paris ancien 1er, 19 juillet 1849* Paris 8e, 27 mai 1916*)

 

Fils d’Adolphe Émile de L'ISLE de FALCON, vicomte de SAINT-GENIÈS (Vernou-sur-Brenne, Indre-et-Loire, 23 juillet 1819 Paris 8e, 29 mai 1889) [fils du général Jean-Marie-Noël DELISLE de FALCON de SAINT-GENIÈS] et d’Elisabeth Selina ROBINSON (Florence, Italie, 1825 – Paris 8e, 11 juin 1891), mariés à Paris ancien 1er le 25 octobre 1843.

Epouse à Paris 8e le 07 mars 1887* (divorce le 24 juillet 1906) Marie Guislaine Geneviève de VILLARDI de MONTLAUR (Montpellier, Hérault, 24 février 1862 – 1944).

 

 

Après des études au Lycée Bonaparte, il entra à Saint-Cyr en 1868, sortit dans la cavalerie, et donna sa démission en 1891 de capitaine-commandant de cuirassiers pour s'adonner entièrement à la littérature. Ecrivain humoristique et gaulois, il a publié un grand nombre de romans et de nouvelles galantes : Monsieur Mars et Madame Vénus (1878) ; le Capitaine Parabère (1878) ; les Femmes des autres (1879) ; la Foire aux caprices (1880) ; Feux de paille (1881) ; A la hussarde (1884) ; A grandes guides (1885) ; Souvent homme varie (1889) ; Mme Manchaballe (1892) ; le Chic et le Chèque (1893) ; les Petites Manchaballe (1893) ; Cocardes et Dentelles (1898) ; la Vie folâtre (1901) ; etc. Il a collaboré à divers journaux et on lui doit aussi des comédies, des vaudevilles, des ballets.

En 1887, il habitait 23 rue de Penthièvre à Paris 8e ; en 1897, 4 rue Frédéric-Bastiat à Paris 8e. Il est décédé en 1916 à soixante-six ans, en son domicile, 37 rue de Ponthieu à Paris 8e. Il est enterré au cimetière de Montmartre (22e division).

 

 

 

livrets

 

Royal-Champagne, opéra-comique en 1 acte, (sous le nom de Saint-Geniès), avec Couturier, musique de Lemarié (Athénée-Lyrique, 28 juin 1873)

la Belle et la Bête, ballet-pantomime en 2 actes et 2 tableaux, musique d'Edmond Diet (Folies-Bergère, 17 septembre 1895, chorégraphie de Mariquita, avec Mlles Emilienne d'Alençon et Rivolta)

 

mélodies

 

Ça ne vaut pas la tour Eiffel, chansonnette comique, musique de Désiré Dihau (1900) => partition

 

 

 

 

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