Amélie BRUDER
Amélie Blanche Louise BRUDER dite Amélie BRUDER
cantatrice française
(20 rue de Nemours, Paris 11e, 19 mai 1899* – Paris 9e, 29 décembre 1982*)
Fille de Paul Henri BRUDER (1869 – ap. 1922), employé d’assurances, et de Blanche CHÉRON (1872 – ap. 1922), mariés.
Epouse 1. à Paris 11e le 07 mars 1922* (divorce 14 décembre 1932) René Auguste JACOB (Paris 19e, 29 avril 1894* –), musicien, fils de Justin Joseph JACOB (1852 – av. 1922), plombier, et de Marie Claudissine COLLIGNON (1860 – ap.1922), concierge, mariés.
Epouse 2. à Marly-le-Roi, Seine-et-Oise [auj. Yvelines], le 01 août 1940 André Jules LAFOSSE (Marly-le-Roi, 13 mars 1890* – Paris 9e, 08 mars 1975*), trombone à l'Opéra-Comique puis à l'Opéra, fils d'Henri Joseph LAFOSSE (Saint-Germain-en-Laye, Seine-et-Oise [auj. Yvelines], 1876 –), inspecteur d'assurances, et de Marie Juliette TIFFAGNON (Saint-Germain-en-Laye, 1876 –) ; père d’André LAFOSSE (1920 – ap. 1982).
Elle a chanté au Palais Garnier à partir de 1930.
En 1922, elle habitait 165 boulevard Voltaire à Paris 11e ; en 1931, 32 rue Véron à Paris 18e. Elle est décédée en 1982 à quatre-vingt-trois ans en son domicile, 8 rue de la Chaussée-d’Antin à Paris 9e.
Sa carrière à l'Opéra de Paris
Elle y chanta Castor et Pollux (une Suivante d’Hébé, 1930) ; Parsifal (une Fille-fleur, 1933) ; les Huguenots (une Dame d'honneur, 1936) ; Pénélope (une Suivante, 1943) ; Hérodiade (une Esclave, 1945). |